Thursday, May 10, 2012

SAJT-MEDICAL


Les plantes cancérigènes

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Tout ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour la santé.

La preuve, certaines plantes, notamment utilisées en phytothérapie provoquent des cancers.

Aristolochia: des espèces qui détruisent les reins

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Les espèces du genre Aristolochia sont des plantes grimpantes et vivaces. Elles poussent dans les régions méditerranéennes et tropicales. Les espèces appelée aristoloche à feuilles rondes, pistoloche, siphon ou clématite par exemple, poussent en France métropolitaine.
Dans la pharmacopée chinoise, les plantes de ce genre sont très utilisées, notamment Aristolochia debilis ou A. fangchi.
A noter qu'en chinois, plusieurs espèces peuvent porter le même nom, ce qui peut prêter à confusion.
Des experts du Circ (Centre international de recherche sur le cancer) ont publié en 2002 une évaluation des risques cancérogènes pour l’homme liés à certaines plantes médicinales.
Dans celle-ci, ils ont classé toutes les plantes médicinales contenant des espèces du genre Aristolochia comme cancérogènes pour les humains.
Les plantes du genre Aristolochia causent des tumeurs du bassinet rénal, de l’uretère et de la vessie. Sur des animaux, les scientifiques ont noté que leurs acides aristolochiques provoquaient des tumeurs du préestomac, ainsi que des lésions et tumeurs des reins.
'Les acides aristolochiques provoquent des lésions ADN qui peuvent être converties en mutations des gènes. C'est comme cela que naît un cancer', explique le Dr Robert Baan, chercheur au Circ.
A noter que ces altérations de l'ADN sont localisées dans les tissus des organes touchés et ne sont pas héréditaires.
Source: Monographies du CIRC sur l‘évaluation des risques de cancérogénicité pour l’homme, Volume 82, 'Some Traditional Herbal Medicines, some Mycotoxins, Naphthalene and Styrene'.
(Photo: Aristolochia macrophylla)

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avec toutes les saloperies qu'il y a dans notre alimentations, tout est cancérigène. il n'y a plus rien de sain de nos jours.
gerardmarieemilefrederic a dit :
1. Tu sais, Gérard, je connais beaucoup de blogs, dont le mien,
alors comment veux-tu que je sache ce qui a été écrit quelque part
le 5 janvier si tu n'en dis pas plus ? Comme d'habitude, "précision" et "Gégé",
c'est deux !
2. De toute façon, si je l'ai écrit, ça doit être la vérité :
sauf lors d'une éventuelle plaisanterie, m'as-tu déjà surpris en flagrant
délit de mensonge ?
3. Quant à savoir "C'EST QUOI ce que je lis", ma foi, si tu ne sais
pas ce que tu lis quand c'est écrit en français, ce n'est pas ma faute
et ce n'est pas à moi à te le traduire dans ton langage.

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je réponds :
ce que vous vous accordez à vous-meme , ne le niez pas autres et surtout à moi,
à force de me niez ce droit , je vous rappelle que les personnes , qui veulent
que l'on soit d'accord avec eux pratiquent la pensee unique ,

( en politique , parti unique ) les conseilleurs ne sont pas les payeurs
je connais la politique pour la pratiquer depuis tres longtemps
( voyez le livre , je suis à la page 15
Les truands du patronat / Marcel Caille, avec la collaboration
de Dominique Deceze ; pref. de Georges Seguy

Author Caille, Marcel
Description [Paris] : Editions sociales, [c1977]
305 p., [8] leaves of plates : ill. ; 22 cm.
ISBN 2209052343 :
Notes Includes index.
Bibliography: p. [295]-296.
Encore et toujours du n'importe quoi en petits paquets au coin de la cheminée, quoi...

Sinon, à part ça, tu ne devais pas nous quitter, disais-tu ?
Comme d'hab, tu n'es pas resté longtemps parti...
Note que tu es tellement comique que tout compte fait, tu fais bien de rester...

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